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Ce terme ne se trouve, en nos Bibles, que dans le titre : La Sainte Bible, ou La Bible ; et ce titre est relativement récent, car on ne le rencontre pas avant le IXe siècle. Le mot Bible n’est donc pas un terme biblique. Il nous vient du latin, qui l’a emprunté au grec. En grec, Biblia était un pluriel signifiant les livres. En passant au latin, le mot prit la forme du singulier : le Livre, et signifia : le Livre par excellence.
Les livres contenus dans cette collection qu’est la Bible étaient écrits sur papyrus ou parchemin. La forme de ces livres était généralement le rouleau, c’est-à-dire une longue bande que le lecteur tenait horizontalement devant soi, le déroutant de la main droite et l’enroulant de la main gauche, au fur et à mesure de la lecture, l’écriture y étant disposée en colonnes verticales.
Ces rouleaux avaient toujours à peu près la même dimension. Un rouleau suffisait à contenir plusieurs écrits de faible longueur. Les douze « petits prophètes », par exemple, ne formaient qu’un livre. Il arrivait aussi que le rouleau fût trop long pour l’œuvre que l’on y copiait ; on y ajoutait alors d’autres écrits, pour l’utiliser dans sa totalité. Ce fait explique que l’on ait parfois attribué à l’auteur de l’écrit principal ces morceaux ajoutés à la suite de son œuvre : l’erreur était à peu près inévitable dans le cas où ces morceaux étaient d’auteurs inconnus. C’est ainsi qu’aux écrits d’Esaïe, de Zacharie furent adjointes des prophéties anonymes qui ont longtemps passé pour être leur œuvre. Il a fallu l’étude attentive et scrupuleuse à laquelle la Bible a été soumise dé notre temps pour que l’on reconnût, par exemple, que le livre d’Esaïe comprenait, outre les discours de ce prophète (chapitres 1-39), ceux d’au moins deux autres prophètes dont les noms n’ont pas été conservés et dont le plus remarquable est celui que l’on a pris l’habitude d’appeler le Second-Esaïe ou le Prophète Anonyme de l’Exil (ch. 40-55).
Les cahiers étaient aussi en usage et furent même préférés par tes chrétiens dès le IIe siècle de notre ère, comme le prouvent les plus anciens papyrus chrétiens qui nous aient été conservés.
Formation de l’Ancien Testament. — La plus ancienne littérature hébraïque paraît avoir été constituée par des poèmes et des chants. Quelques fragments poétiques, cités par les écrivains postérieurs, sont, dans notre Bible, les pages les plus anciennes qu’elle nous offre ; plusieurs proviennent de cieux très anciens recueils poétiques : le Livre du Juste, nommé deux fois dans l’Ancien Testament (Josué 10.13 et 2Sa 1.18), et le Livre des Guerres de Yahvé (Nombres 21.14). Le plus célèbre de ces poèmes est le Chant de moi-même (Juges 5).
Ces pièces poétiques apparaissent dans des récits historiques composés plus tard. Les règnes de David et de Salomon semblent avoir été l’époque où se développa cette nouvelle forme de la littérature hébraïque. Une très importante partie de l’histoire de David est si vivante et si impartiale à la fois qu’il est difficile de ne pas y reconnaître une narration presque contemporaine des événements. Le goût de ces récits d’histoire nationale se répandit rapidement et il se forma bientôt, dans le Royaume de Juda, d’abord, et peu de temps après dans le Royaume d’Israël, des cercles littéraires, si l’on peut ainsi les appeler, où l’on se proposa de réunir toutes les traditions populaires et de constituer ainsi une histoire d’Israël depuis les origines et même de rattacher cette histoire aux origines du monde. Il se forma ainsi deux cycles distincts de récits, rapportant les mêmes traditions avec des variantes inévitables et où apparaît, à des degrés divers, l’influence morale et religieuse des prophètes.
Nous ne possédons pas ces deux écrits dans leur forme primitive, car, plus tard, sans doute après la disparition du Royaume du Nord, ils donnèrent naissance à une œuvre unique dans laquelle les récits de l’un et l’autre furent, à propos de chaque événement, juxtaposés et, pour ainsi dire, tressés ensemble, plutôt que refondus, si bien qu’il n’est pas trop difficile de les distinguer encore aujourd’hui, comme l’on distinguerait des fils de couleurs différentes dans une tresse unique.
Cette œuvre nouvelle n’est d’ailleurs pas reproduite telle quelle dans l’Ancien Testament. Elle a, dans la suite, reçu de nombreuses et importantes adjonctions et subi bien des remaniements. Au temps de la réforme du roi Josias (621), un écrit de nature législative et d’inspiration nettement prophétique y fut ajouté c’est celui qui forme presque exclusivement le livre actuel du Deutéronome. Son langage, très caractéristique, impossible à confondre avec celui des écrivains antérieurs, ou postérieurs, apparaît ici et là hors du Deutéronome au milieu des récits auquel le Deutéronome a été ajouté, et nous reconnaissons à ce fait que l’ouvrage nouveau n’est pas simplement l’ouvrage ancien augmenté du Deutéronome mais un livre refondu et corrigé dans l’esprit prophétique du Deutéronome.
Cette troisième forme de l’écrit n’est pas la dernière. Une nouvelle refonte, très considérable par l’étendue des textes législatifs et des morceaux narratifs ajoutés, très reconnaissable aussi par son empreinte théocratique et son inspiration sacerdotale, fut accomplie après l’Exil, à l’époque d’Esdras. Le livre du Lévitique tout entier appartient à cette nouvelle rédaction conçue dans le même esprit que les livres des Chroniques, d’Esdras et de Néhémie et généralement dénommée Code Sacerdotal. Ajoutons que de nombreux passages, législatifs ou narratifs, ont été introduits par les rédacteurs sacerdotaux dans les six premiers livres de l’Ancien Testament. Pour ne citer qu’un exemple, la première page de la Genèse (1.1 – 2.4) est une adjonction de cette époque tardive.
La conclusion des remarques qui précèdent, c’est que beaucoup de chapitres des livres narratifs de l’Ancien Testament, principalement des six premiers, sont une mosaïque de fragments provenant principalement des deux sources parallèles que nous avons indiquées en premier lieu (les plus anciennes) et de la source sacerdotale (la plus récente), avec, ici et là, en assez grand nombre, des retouches ayant pour but d’harmoniser et de cimenter toutes ces pièces d’origines diverses, retouches dont le style caractéristique permet presque toujours d’attribuer l’insertion à telle ou telle des rédactions successives.
Nous avons dit que les plus anciens récits de l’Ancien Testament portent la marque de l’influence des prophètes. En un sens, c’est déjà de la littérature prophétique. Cependant, nous réservons ce nom, en général, aux livres qui portent les noms des prophètes et contiennent leurs discours. Ce n’est qu’à partir du VIIIe siècle, avec Amos, que les prophètes — un certain nombre d’entre eux, tout au moins — commencèrent à consigner leurs paroles par écrit, et l’on sait quelle place importante leurs livres occupent dans l’Ancien Testament, tant par leur étendue que par la très haute inspiration morale et religieuse qu’ils traduisent. A ce dernier point de vue, la littérature hébraïque, expression de la vie spirituelle des plus grandes âmes du peuple d’Israël, atteint son apogée avec Amos, Esaïe, Jérémie, Ezéchiel. Cette littérature prophétique s’étend sur une longue période qui va du VIIIe au IVe siècle.
A des dates diverses, mais qu’il faut toutes fixer après l’Exil, parurent enfin d’autres livres de l’Ancien Testament dont le plus important, par l’influence qu’il exerça et ne cesse d’exercer encore, est celui des Psaumes. Il faut y ajouter les autres livres appelés « poétiques » dans les tables des matières de nos Bibles : Job, Proverbes, Ecclésiaste, Cantique des Cantiques, et enfin les Lamentations, Daniel Ruth et Esther qui ont été placés dans notre Bible, (mais non dans la collection hébraïque), les deux premiers parmi les prophètes, les cieux autres parmi les livres que nous appelons historiques.
Tous ces livres, de genres si divers, étaient l’objet d’une grande vénération de la part des Israélites, mais tous n’étaient cependant pas placés sur le même rang. Ils étaient distribués entre trois collections : la Loi (les cinq premiers livres de l’Ancien Testament), qui jouissait de l’autorité la plus absolue ; les Prophètes (Josué, Juges, Samuel, Rois, Esaïe, Jérémie, Ezéchiel et les Douze), dont l’autorité était encore très grande ; et, enfin, les Ecrits (comprenant les autres livres), recueil qui ne paraît avoir été définitivement clos que très tardivement (puisque des livres qui n’y ont pas été admis sont cités dans le Nouveau Testament), et dont l’autorité était certainement moindre (puisqu’au temps de Jésus, l’ensemble des livres saints était couramment désigné par l’expression La Loi et les Prophètes, sans mention des livres de la troisième catégorie).
Les livres ci-dessus indiqués sont ceux que renferme la Bible hébraïque. Mais on ne peut parler de la composition de l’Ancien Testament sans signaler les livres dits Apocryphes qui figurent dans la Version grecque des Septante, d’où ils ont passé dans la Bible latine et dans toutes les Bibles anciennes et modernes jusqu’au commencement du siècle dernier. Les principaux de ces livres sont I et II Macchabées, Tobit, Judith, Baruch, le Siracide ou Ecclésiastique, la Sagesse de Salomon. L’Eglise catholique a maintenu les apocryphes dans la Bible en leur attribuant une autorité canonique de second ordre, les Eglises protestantes les ont généralement exclus, les trouvant d’une inspiration inférieure.
Formation du Nouveau Testament. — La formation du Nouveau Testament a ceci de commun avec celle de l’Ancien que les différents « livres » qu’il contient n’ont pas été écrits dans l’intention d’être incorporés à un recueil sacré.
Epîtres. — Les premiers qui ont vu le jour sont les Epîtres de Paul, composées à partir de l’an 50 ou 51. Toutes les lettres de l’Apôtre ne sont pas parvenues jusqu’à nous. Les plus anciennes de celles que nous possédons (1re et 2e aux Thessaloniciens) avaient peut-être été précédées par d’autres et quelques-unes (nous le savons expressément pour celles qu’il a adressées aux Corinthiens) ont été perdues. Ce ne fut sans doute pas dès les premières années du ministère de Paul que les Eglises songèrent à conserver précieusement les moindres missives de leur fondateur, mais cette préoccupation s’empara d’elles à mesure que grandissait l’influence de la personnalité de l’Apôtre et la conviction que ses écrits possédaient une valeur permanente. La première génération les légua à la seconde et de bonne heure on les recopia pour les répandre. Il était naturel que l’exemple de Paul fût suivi et que d’autres que lui écrivissent des Epîtres. Ce genre littéraire », qui existait d’ailleurs avant Paul, offrait trop d’avantages aux chrétiens qui avaient la responsabilité spirituelle des Eglises, pour qu’ils ne songeassent pas à l’employer. Et c’est ainsi qu’ont été écrites et qu’ont été conservées les autres Épîtres qui figurent dans le Nouveau Testament : l’Épître (anonyme) aux Hébreux et les sept Epîtres, dites « catholiques » (c’est-à-dire adressées à l’ensemble des chrétiens), Jacques ; 1 et 2 Pierre ; 1, 2, et 3 Jean ; Jude. Cette seconde série d’Epîtres se distingue de celles de l’apôtre Paul par un caractère moins spécifiquement épistolaire. Il ne s’agit plus ici d’écrits de circonstance, mais de petits traités que l’on pourrait comparer à ce que les anciens appelaient la diatribe. Il n’est pas facile de fixer une date à chacune des vingt et une Épîtres du Nouveau Testament. On y parvient approximativement pour celles de Paul grâce à la fois aux renseignements que nous fournit leur contenu même et à la connaissance que nous avons, par le livre des Actes des Apôtres, de sa carrière missionnaire. Pour les autres Epîtres, l’incertitude est grande. Les plus récentes (telles que 2 Pierre, 2 et 3 Jean), de l’avis à peu près unanime des savants, datent du IIe siècle, d’où il résulte que leur attribution aux apôtres dont elles portent les noms ne saurait être maintenue. Nous n’entrerons d’ailleurs pas dans l’étude de la question de l’authenticité de telle ou telle Épître, qui dépasse les limites de notre modeste Lexique. L’essentiel de ce qu’il faut savoir, c’est que toutes les Épîtres qui peuvent être attribuées à Paul ont été écrites avant que les Evangiles, dont nous allons parler maintenant, aient vu le jour.
Évangiles et Actes des Apôtres. — Les Evangiles constituent un genre d’écrits particuliers à l’Église primitive. On ne les comprend bien qu’en sachant comment ils sont nés. Les chrétiens des premières années ne songeaient en aucune manière à écrire ce qu’ils savaient de Jésus. Attendant son prochain retour, ils regardaient à l’avenir plus qu’au passé. Il leur paraissait suffisant d’entretenir en eux le souvenir du Maître en se rappelant les uns aux autres et en racontant aux nouveau-convertis et aux enfants tout ce que l’on avait retenu de ses paroles et de sa vie. Il se forma ainsi une tradition orale peu soucieuse d’établir la chronologie du ministère de Jésus ou de constituer sa biographie et fortement empreinte du caractère épisodique que lui conférait son utilisation pratique dans l’enseignement et la prédication. Ce fut la rapide extension de l’Église, devenue missionnaire, qui l’obligea à fixer par l’écriture cet « évangile », cette prédication de la Bonne Nouvelle, constituée par les paroles et les actes du Sauveur. Le missionnaire ne faisait que passer: quel avantage pour son œuvre que de pouvoir laisser derrière lui non seulement le souvenir de ses paroles, mais un écrit qui maintiendrait la jeune Eglise en contact avec le Maître !
C’est évidemment dans cette intention que parut d’abord (nous ne pouvons dire à quelle date) un petit livre destiné à mettre en lumière le message chrétien en reproduisant des paroles de Jésus. Cet écrit n’existe plus sous sa forme primitive, mais a été utilisé par les auteurs des premier et troisième évangiles et on le reconstituerait, à peu de chose près, avec tous les fragments de discours qui sont communs à Matthieu et à Luc seuls. C’est vraisemblablement ce recueil auquel fait allusion Papias, évêque d’Hiérapolis au IIe siècle, et qu’il attribue à Matthieu. On le désigne par le terme Logia, qui signifie Paroles. Mais cet ouvrage ne pouvait longtemps suffire aux besoins des Eglises. Il était manifestement trop incomplet, laissant de côté de larges portions de cette « tradition » que l’on voulait posséder par écrit.
Marc au dire du même Papias, aurait été l’auteur d’un écrit nouveau où « il écrivit exactement, mais sans ordre, tout ce qu’il se rappelait qu’avait dit ou fait le Christ », et il aurait composé son ouvrage sous l’inspiration de Pierre dont « il était devenu l’interprète ». Cet ouvrage, c’est notre Évangile de Marc actuel ou un écrit à peu près identique à cet Evangile. Tels furent les deux premiers écrits chrétiens relatifs à Jésus : les Logia et Marc. Cet Evangile de Marc (comme les Epîtres de Paul, ainsi que nous l’avons vu) devint pour d’autres écrivains un exemple à suivre.
Notre Évangile de Matthieu est une combinaison des deux écrits précédents avec quelques additions. Chose curieuse son apparition provoqua la disparition des Logia en tant qu’ouvrage séparé, mais laissa subsister Marc. Notre Évangile de Luc est également une reproduction des deux mêmes documents, mais avec une beaucoup plus forte proportion de fragments nouveaux empruntés à d autres sources que nous ne connaissons pas. Ces trois premiers Evangiles (Marc, Matthieu et Luc) sont désignés par le nom de Synoptiques ; ce terme signifie qu’on peut en avoir une vue d’ensemble en disposant leur texte en colonnes parallèles ; une telle disposition fait immédiatement ressortir dans les trois textes un nombre extrêmement important de passages ou bien identiques, ou bien très ressemblants ou bien équivalents, avec, ici et là, dans chaque colonne, des vides correspondant à des passages n’existant que dans un ou dans deux des Evangiles. Ces ressemblances et ces différences soulèvent des problèmes très délicats dès que l’on veut préciser (ce que nous n’essayons pas de faire ici) les rapports des synoptiques entre eux ou avec leurs sources communes.
Mais nous avons un quatrième Évangile, l’Evangile de Jean ; et ce qui le caractérise dès le premier abord, c’est l’impossibilité de le faire figurer avec les trois premiers dans un cadre synoptique. Une quatrième colonne, destinée au texte du quatrième évangile, montrerait, au premier coup d’œil, qu’il contient très peu de pages équivalentes à celles des trois premiers. L’Evangile de Jean est seul de son espèce et diffère des trois autres non seulement par sa composition qui ne consiste pas en une simple combinaison de documents antérieurs, non seulement par sa méthode qui ne vise pas à rapporter, autant que possible, tout ce que l’on savait de Jésus, non seulement par son contenu qui paraît tendre à compléter et parfois à rectifier les synoptiques en laissant de côté la plus grande partie de ce qu’ils ont raconté, mais surtout par l’image même qu’il dessine de Jésus, auquel il prête un langage très différent de celui que nous trouvons dans les synoptiques et un enseignement infiniment moins varié, presque entièrement consacré à mettre en lumière la divinité de sa mission. Ce quatrième Evangile, comparé aux trois autres, n’a pu, de toute évidence, voir le jour qu’à une époque où la pensée chrétienne, surtout pour ce qui concerne la personne de Jésus, avait pris un développement inconnu au temps des synoptiques. Aussi, tandis que la composition de Marc Matthieu et Luc peut être approximativement fixée, à des dates diverses, entre les années 70 et 90, celle de l’Evangile de Jean doit être repoussée aux dernières années du Ier siècle ou, peut-être même, au premier quart du IIe.
Un cinquième livre narratif, les Actes des Apôtres, écrit par l’auteur du troisième Evangile comme complément à son premier ouvrage, daterait des environs de l’an 85.
Apocalypse. — Quant au dernier livre du Nouveau Testament, intitulé l’Apocalypse de Jean, écrit à une époque de persécutions violentes et continues, mais postérieures à la persécution de Néron, il date vraisemblablement des dernières années du Ier siècle, peut-être du règne de Domitien (81-96).
Nous n’entrerons pas ici dans l’étude du canon (les saintes Ecritures, c’est-à-dire du choix par les autorités juives et chrétiennes, des livres dignes de faire partie du recueil sacré. Cette étude, essentiellement historique, sort du cadre de notre Lexique.
Nous indiquerons cependant pour terminer qu’un certain nombre d’écrits chrétiens des premiers temps ont reçu le nom d’apocryphes du Nouveau Testament parce qu’ils n’ont pas paru mériter d’y être introduits, par exemple l’Evangile des Hébreux, l’Evangile de Pierre, l’Evangile de Nicodème, etc.