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  • Bible Louis Segond 1910 (La traduction de la Bible par Louis Segond a été faite à partir des textes originaux hébreux et grecs.)

  • Bible Segond 21 (La Segond 21 est une traduction de la Bible éditée pour la première fois en 2007, fruit de 12 ans de travail sur les textes hébreu, araméen et grec.)

  • Nouvelle Edition de Genève (NEG) La Bible Nouvelle Edition de Genève publiée en 1979, est une révision de la version Segond, elle est pour cela aussi appelée Louis Segond 1979.

  • Parole de vie (Avec son style très direct et si compréhensible, la Version Parole de Vie représente donc une nouvelle chance pour que le message biblique atteigne les hommes et les femmes d'aujourd'hui.)

  • Bible du Semeur (La Bible du Semeur est une nouvelle traduction de la Bible en français dirigée par le bibliste Alfred Kuen et publiée en 1992.)

  • Bible Darby (La Bible Darby est la traduction française réalisée par John Nelson Darby au XIXème siècle à partir des textes originaux hébreux et grecs.)

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  • Bible Ostervald (La Bible Ostervald a été traduite directement des textes originaux hébreux et grec.)

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  • Bible de Tours (La Grande Bible de Tours est la traduction intégrale dite de « La Vulgate », mise en français par les chanoines J.J. Bourassé et P. Janvier.)

  • Bible Crampon (La célèbre traduction du chanoine Augustin Crampon de 1923 est remarquable pour être basée essentiellement sur la Septante et la Vulgate. )

  • Bible de Sacy (La Bible de Sacy a fait autorité pendant plus de deux siècles. Elle a été la Bible de Victor Hugo et de Rimbaud..)

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  • Dictionnaire Biblique de Jean-Augustin Bost. Le Dictionnaire biblique de Jean-Augustin Bost traite de tout ce qui est matériellement et naturellement difficile à comprendre dans la Bible, des mœurs, des lieux, des hommes, des noms de plantes, d'animaux, de minéraux, etc.

  • Dictionnaire historique et critique de la Bible Augustin Calmet. Le Dictionnaire historique, critique, chronologique, géographique et littéral de la Bible, en plus de donner la définition des mots de toute la Bible, aborde des aspects historiques, linguistiques, culturels, ethnographiques et géographiques qui pourraient échapper au croyant.

  • Dictionnaire Biblique de Charles Lelièvre. Le Lexique de la Bible du pasteur Charles Lelièvre met à la portée de tous les chrétiens le texte de la Bible qui est une source incomparable de vie spirituelle, étant le document classique de la révélation de Dieu à l'humanité.

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Verset du jour - Les trésors de la foi

« L’Éternel fera de toi la tête et non la queue. » Deutéronome 28.13

Si nous obéissons à l’Éternel, il obligera nos adversaires à reconnaître que sa bénédiction est sur nous, et cette promesse, bien qu’appartenant à la loi, reste vraie pour le peuple de Dieu ; car Jésus a enlevé la malédiction pour établir la bénédiction. Il appartient aux saints de conduire la marche des autres hommes, en exerçant sur eux une sainte influence : leur place ne sera plus à la queue pour y être ballottés de côté et d’autre. Ils ne doivent pas céder à l’esprit du siècle, mais contraindre le siècle à rendre hommage à Christ. Si Christ est avec nous, nous ne nous contenterons pas de demander la tolérance pour la religion, mais nous voudrons voir celle-ci assise sur le trône de la société. Le Seigneur n’a-t-il pas fait des siens un peuple de sacrificateurs ! C’est donc à ce peuple à enseigner, et non à s’asseoir à l’école de la philosophie incrédule. Dieu ne nous a-t-il pas, en Christ, faits rois pour régner sur la terre ? Comment pouvons-nous donc être asservis aux usages et rester esclaves de l’opinion ?

Et maintenant, avez-vous pris votre vraie position en Jésus ? Trop nombreux sont ceux qui se taisent par crainte, sinon par lâcheté. Permettrons-nous que le nom de Christ soit laissé à l’arrière-plan ? Notre religion sera-t-elle donc traînée comme la queue ? Ne doit-elle pas, au contraire, être en tête, pour montrer le chemin, et être la puissance qui nous dirige, nous et les autres ?

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 88

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Les Ziphiens allèrent auprès de Saül à Guibea, et dirent : David n’est-il pas caché sur la colline de Hakila, en face du désert ?
Saül se leva et descendit au désert de Ziph, avec trois mille hommes de l’élite d’Israël, pour chercher David dans le désert de Ziph.
Il campa sur la colline de Hakila, en face du désert, près du chemin. David était dans le désert ; et s’étant aperçu que Saül marchait à sa poursuite au désert,
il envoya des espions, et apprit avec certitude que Saül était arrivé.
Alors David se leva et vint au lieu où Saül était campé, et il vit la place où couchait Saül, avec Abner, fils de Ner, chef de son armée. Saül couchait au milieu du camp, et le peuple campait autour de lui.
David prit la parole, et s’adressant à Achimélec, Héthien, et à Abischaï, fils de Tseruja et frère de Joab, il dit : Qui veut descendre avec moi dans le camp vers Saül ? Et Abischaï répondit : Moi, je descendrai avec toi.
David et Abischaï allèrent de nuit vers le peuple. Et voici, Saül était couché et dormait au milieu du camp, et sa lance était fixée en terre à son chevet. Abner et le peuple étaient couchés autour de lui.
Abischaï dit à David : Dieu livre aujourd’hui ton ennemi entre tes mains ; laisse-moi, je te prie, le frapper de ma lance et le clouer en terre d’un seul coup, pour que je n’aie pas à y revenir.
Mais David dit à Abischaï : Ne le détruis pas ! Car qui pourrait impunément porter la main sur l’oint de l’Éternel ?
Et David dit : L’Éternel est vivant ! C’est à l’Éternel seul à le frapper, soit que son jour vienne et qu’il meure, soit qu’il descende sur un champ de bataille et qu’il y périsse.
Loin de moi, par l’Éternel ! De porter la main sur l’oint de l’Éternel ! Prends seulement la lance qui est à son chevet, avec la cruche d’eau, et allons-nous-en.
David prit donc la lance et la cruche d’eau qui étaient au chevet de Saül ; et ils s’en allèrent. Personne ne les vit ni ne s’aperçut de rien, et personne ne se réveilla, car ils dormaient tous d’un profond sommeil dans lequel l’Éternel les avait plongés.
David passa de l’autre côté, et s’arrêta au loin sur le sommet de la montagne, à une grande distance du camp.
Et il cria au peuple et à Abner, fils de Ner : Ne répondras-tu pas, Abner ? Abner répondit : Qui es-tu, toi qui pousses des cris vers le roi ?
Et David dit à Abner : N’es-tu pas un homme ? Et qui est ton pareil en Israël ? Pourquoi donc n’as-tu pas gardé le roi, ton maître ? Car quelqu’un du peuple est venu pour tuer le roi, ton maître.
Ce que tu as fait là n’est pas bien. L’Éternel est vivant ! Vous méritez la mort, pour n’avoir pas veillé sur votre maître, sur l’oint de l’Éternel. Regarde maintenant où sont la lance du roi et la cruche d’eau, qui étaient à son chevet !
Saül reconnut la voix de David, et dit : Est-ce bien ta voix, mon fils David ? Et David répondit : C’est ma voix, ô roi, mon seigneur !
Et il dit : Pourquoi mon seigneur poursuit-il son serviteur ? Qu’ai-je fait, et de quoi suis-je coupable ?
Que le roi, mon seigneur, daigne maintenant écouter les paroles de son serviteur : si c’est l’Éternel qui t’excite contre moi, qu’il agrée le parfum d’une offrande ; mais si ce sont des hommes, qu’ils soient maudits devant l’Éternel, puisqu’ils me chassent aujourd’hui pour me détacher de l’héritage de l’Éternel, et qu’ils me disent : Va servir des dieux étrangers !
Oh ! Que mon sang ne tombe pas en terre loin de la face de l’Éternel ! Car le roi d’Israël s’est mis en marche pour chercher une puce, comme on chasserait une perdrix dans les montagnes.
Saül dit : J’ai péché ; reviens, mon fils David, car je ne te ferai plus de mal, puisqu’en ce jour ma vie a été précieuse à tes yeux. J’ai agi comme un insensé, et j’ai fait une grande faute.
David répondit : Voici la lance du roi ; que l’un de tes gens vienne la prendre.
L’Éternel rendra à chacun selon sa justice et sa fidélité ; car l’Éternel t’avait livré aujourd’hui entre mes mains, et je n’ai pas voulu porter la main sur l’oint de l’Éternel.
Et comme aujourd’hui ta vie a été d’un grand prix à mes yeux, ainsi ma vie sera d’un grand prix aux yeux de l’Éternel et il me délivrera de toute angoisse.
Saül dit à David : Sois béni, mon fils David ! Tu réussiras dans tes entreprises. David continua son chemin, et Saül retourna chez lui.

David dit en lui-même : je périrai un jour par la main de Saül ; il n’y a rien de mieux pour moi que de me réfugier au pays des Philistins, afin que Saül renonce à me chercher encore dans tout le territoire d’Israël ; ainsi j’échapperai à sa main.
Et David se leva, lui et les six cents hommes qui étaient avec lui, et ils passèrent chez Akisch, fils de Maoc, roi de Gath.
David et ses gens restèrent à Gath auprès d’Akisch ; ils avaient chacun leur famille, et David avait ses deux femmes, Achinoam de Jizreel, et Abigaïl de Carmel, femme de Nabal.
Saül, informé que David s’était enfui à Gath, cessa de le chercher.
David dit à Akisch : Si j’ai trouvé grâce à tes yeux, qu’on me donne dans l’une des villes du pays un lieu où je puisse demeurer ; car pourquoi ton serviteur habiterait-il avec toi dans la ville royale ?
Et ce même jour Akisch lui donna Tsiklag. C’est pourquoi Tsiklag a appartenu aux rois de Juda jusqu’à ce jour.
Le temps que David demeura dans le pays des Philistins fut d’un an et quatre mois.
David et ses gens montaient et faisaient des incursions chez les Gueschuriens, les Guirziens et les Amalécites ; car ces nations habitaient dès les temps anciens la contrée, du côté de Schur et jusqu’au pays d’Égypte.
David ravageait cette contrée ; il ne laissait en vie ni homme ni femme, et il enlevait les brebis, les bœufs, les ânes, les chameaux, les vêtements, puis s’en retournait et allait chez Akisch.
Akisch disait : Où avez-vous fait aujourd’hui vos courses ? Et David répondait : Vers le midi de Juda, vers le midi des Jerachmeélites et vers le midi des Kéniens.
David ne laissait en vie ni homme ni femme, pour les amener à Gath ; car, pensait-il, ils pourraient parler contre nous et dire : Ainsi a fait David. Et ce fut là sa manière d’agir tout le temps qu’il demeura dans le pays des Philistins.
Akisch se fiait à David, et il disait : Il se rend odieux à Israël, son peuple, et il sera mon serviteur à jamais.

En ce temps-là, les Philistins rassemblèrent leurs troupes et formèrent une armée, pour faire la guerre à Israël. Akisch dit à David : Tu sais que tu viendras avec moi à l’armée, toi et tes gens.
David répondit à Akisch : Tu verras bien ce que ton serviteur fera. Et Akisch dit à David : Aussi je te donnerai pour toujours la garde de ma personne.
Samuel était mort ; tout Israël l’avait pleuré, et on l’avait enterré à Rama, dans sa ville. Saül avait ôté du pays ceux qui évoquaient les morts et ceux qui prédisaient l’avenir.
Les Philistins se rassemblèrent, et vinrent camper à Sunem ; Saül rassembla tout Israël, et ils campèrent à Guilboa.
À la vue du camp des Philistins, Saül fut saisi de crainte, et un violent tremblement s’empara de son cœur.
Saül consulta l’Éternel ; et l’Éternel ne lui répondit point, ni par des songes, ni par l’urim, ni par les prophètes.
Et Saül dit à ses serviteurs : Cherchez-moi une femme qui évoque les morts, et j’irai la consulter. Ses serviteurs lui dirent : Voici, à En Dor il y a une femme qui évoque les morts.
Alors Saül se déguisa et prit d’autres vêtements, et il partit avec deux hommes. Ils arrivèrent de nuit chez la femme. Saül lui dit : Prédis-moi l’avenir en évoquant un mort, et fais-moi monter celui que je te dirai.
La femme lui répondit : Voici, tu sais ce que Saül a fait, comment il a retranché du pays ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l’avenir ; pourquoi donc tends-tu un piège à ma vie pour me faire mourir ?
Saül lui jura par l’Éternel, en disant : L’Éternel est vivant ! Il ne t’arrivera point de mal pour cela.
La femme dit : Qui veux-tu que je te fasse monter ? Et il répondit : Fais moi monter Samuel.
Lorsque la femme vit Samuel, elle poussa un grand cri, et elle dit à Saül : Pourquoi m’as-tu trompée ? Tu es Saül !
Le roi lui dit : Ne crains rien ; mais que vois-tu ? La femme dit à Saül : je vois un dieu qui monte de la terre.
Il lui dit : Quelle figure a-t-il ? Et elle répondit : C’est un vieillard qui monte et il est enveloppé d’un manteau. Saül comprit que c’était Samuel, et il s’inclina le visage contre terre et se prosterna.
Samuel dit à Saül : Pourquoi m’as-tu troublé, en me faisant monter ? Saül répondit : Je suis dans une grande détresse : les Philistins me font la guerre, et Dieu s’est retiré de moi ; il ne m’a répondu ni par les prophètes ni par des songes. Et je t’ai appelé pour que tu me fasses connaître ce que je dois faire.
Samuel dit : Pourquoi donc me consultes-tu, puisque l’Éternel s’est retiré de toi et qu’il est devenu ton ennemi ?
L’Éternel te traite comme je te l’avais annoncé de sa part ; l’Éternel a déchiré la royauté d’entre tes mains, et l’a donnée à un autre, à David.
Tu n’as point obéi à la voix de l’Éternel, et tu n’as point fait sentir à Amalek l’ardeur de sa colère : voilà pourquoi l’Éternel te traite aujourd’hui de cette manière.
Et même l’Éternel livrera Israël avec toi entre les mains des Philistins. Demain, toi et tes fils, vous serez avec moi, et l’Éternel livrera le camp d’Israël entre les mains des Philistins.
Aussitôt Saül tomba à terre de toute sa hauteur, et les paroles de Samuel le remplirent d’effroi ; de plus, il manquait de force, car il n’avait pris aucune nourriture de tout le jour et de toute la nuit.
La femme vint auprès de Saül, et, le voyant très effrayé, elle lui dit : Voici, ta servante a écouté ta voix ; j’ai exposé ma vie, en obéissant aux paroles que tu m’as dites.
Écoute maintenant, toi aussi, la voix de ta servante, et laisse-moi t’offrir un morceau de pain, afin que tu manges pour avoir la force de te mettre en route.
Mais il refusa, et dit : Je ne mangerai point. Ses serviteurs et la femme aussi le pressèrent, et il se rendit à leurs instances. Il se leva de terre, et s’assit sur le lit.
La femme avait chez elle un veau gras, qu’elle se hâta de tuer ; et elle prit de la farine, la pétrit, et en cuisit des pains sans levain.
Elle les mit devant Saül et devant ses serviteurs. Et ils mangèrent. Puis, s’étant levés, ils partirent la nuit même.

Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes,
en voyant votre manière de vivre chaste et réservée.
Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt,
mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu.
Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris,
comme Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur. C’est d’elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte.
Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes, comme avec un sexe plus faible ; honorez-les, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu’il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.
Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d’amour fraternel, de compassion, d’humilité.
Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction.
Si quelqu’un, en effet, veut aimer la vie Et voir des jours heureux, Qu’il préserve sa langue du mal Et ses lèvres des paroles trompeuses,
Qu’il s’éloigne du mal et fasse le bien, Qu’il recherche la paix et la poursuive ;
Car les yeux du Seigneur sont sur les justes Et ses oreilles sont attentives à leur prière, Mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal.
Et qui vous maltraitera, si vous êtes zélés pour le bien ?
D’ailleurs, quand vous souffririez pour la justice, vous seriez heureux. N’ayez d’eux aucune crainte, et ne soyez pas troublés ;
Mais sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous,
et ayant une bonne conscience, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ceux qui décrient votre bonne conduite en Christ soient couverts de confusion.
Car il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu’en faisant le mal.
Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l’Esprit,
dans lequel aussi il est allé prêcher aux esprits en prison,
qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Dieu se prolongeait, aux jours de Noé, pendant la construction de l’arche, dans laquelle un petit nombre de personnes, c’est-à-dire huit, furent sauvées à travers l’eau.
Cette eau était une figure du baptême, qui n’est pas la purification des souillures du corps, mais l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Jésus-Christ,
qui est à la droite de Dieu, depuis qu’il est allé au ciel, et que les anges, les autorités et les puissances, lui ont été soumis.

Ainsi donc, Christ ayant souffert dans la chair, vous aussi armez-vous de la même pensée. Car celui qui a souffert dans la chair en a fini avec le péché,
afin de vivre, non plus selon les convoitises des hommes, mais selon la volonté de Dieu, pendant le temps qui lui reste à vivre dans la chair.
C’est assez, en effet, d’avoir dans le temps passé accompli la volonté des païens, en marchant dans la dissolution, les convoitises, l’ivrognerie, les excès du manger et du boire, et les idolâtries criminelles.
Aussi trouvent-ils étrange que vous ne vous précipitiez pas avec eux dans le même débordement de débauche, et ils vous calomnient.
Ils rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts.
Car l’Évangile a été aussi annoncé aux morts, afin que, après avoir été jugés comme les hommes quant à la chair, ils vivent selon Dieu quant à l’Esprit.
La fin de toutes choses est proche. Soyez donc sages et sobres, pour vaquer à la prière.
Avant tout, ayez les uns pour les autres une ardente charité, car La charité couvre une multitude de péchés.
Exercez l’hospitalité les uns envers les autres, sans murmures.
Comme de bons dispensateurs des diverses grâces de Dieu, que chacun de vous mette au service des autres le don qu’il a reçu,
Si quelqu’un parle, que ce soit comme annonçant les oracles de Dieu ; si quelqu’un remplit un ministère, qu’il le remplisse selon la force que Dieu communique, afin qu’en toutes choses Dieu soit glorifié par Jésus-Christ, à qui appartiennent la gloire et la puissance, aux siècles des siècles. Amen !
Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d’une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver.
Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l’allégresse lorsque sa gloire apparaîtra.
Si vous êtes outragés pour le nom de Christ, vous êtes heureux, parce que l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu, repose sur vous.
Que nul de vous, en effet, ne souffre comme meurtrier, ou voleur, ou malfaiteur, ou comme s’ingérant dans les affaires d’autrui.
Mais si quelqu’un souffre comme chrétien, qu’il n’en ait point honte, et que plutôt il glorifie Dieu à cause de ce nom.
Car c’est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c’est par nous qu’il commence, quelle sera la fin de ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de Dieu ?
Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l’impie et le pécheur ?
Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien.

Verset du jour

SELECT v.livre, v.chapitre, v.verset, L.Texte, C.NomCourt FROM vod AS v INNER JOIN Correspondance AS C ON C.Livre = v.livre INNER JOIN LSG AS L ON v.livre = L.Livre AND v.chapitre = L.chapitre AND v.verset = L.verset WHERE v.id = 3

Proverbes 16.3

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