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Il y a dans les lois de Moïse des dispositions particulières, mais éparses, qui forment un code rural. Le Deutéronome (Deutéronome 19.14) dit « Tu ne lèveras ni ne transporteras les bornes de ton prochain qu’auront placées tes prédécesseurs :dans l’héritage que le Seigneur ton Dieu te donne, etc. Cette loi fut violée, et Dieu ; par ses prophètes, menaça les violateurs (Isaïe 5.8 ; Osée 5.10), qui furent punis « Chez les anciens, dit M. Drach, les bornes étaient regardées comme des divinités sous le nom de Jupiter terminalis, etc. Celui qui les déplaçait, était, puni de mort comme sacrilège, en vertu d’une loi de Numa Pompilius. Menu condamne le coupable à être défiguré par la perte d’un des principaux membres. Voyez Homère, : 2, 12.421, et 21.405 ; Virgile, Georg., 1, 125 ; Voyage de Parson en Asie ; Maurice, Antiquités indiennes, tome 4 pages 305. »
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