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L’injuste détenteur d’un dépôt qui lui avait été confié, ou d’une chose qu’il avait trouvée, devait, lorsque mu par le cri de sa conscience, il avait confessé son délit au prêtre (et non pas au juge), rendre la chose déposée, ou trouvée, ou sa valeur, et, de plus, le cinquième de sa valeur. Il devait encore, pour l’expiation de sa faute, offrir un bélier. Le prêtre priait pour lui, et la faute lui était pardonnée. Il ne s’a git pas ici d’une condamnation contre le coupa We, mais de sa confession spontanée (Lévitique 6.2-6).