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Verset du jour - Les trésors de la foi

« Tu dépossèderas les Cananéens, quoi qu’ils aient des chariots de fer, et quelque puissants qu’ils soient. » Josué 17.18

C’est un grand encouragement à être valeureux que d’être assuré de la victoire, car c’est alors avec pleine confiance que le soldat part pour le combat et qu’il marchera là même où il n’aurait osé s’exposer. Nous qui avons à lutter avec le péché au dedans et autour de nous, soyons persuadés que nous pouvons obtenir la victoire, qui nous est donnée d’avance par Jésus-Christ, notre Sauveur. Nous ne partons pas pour reculer, mais pour vaincre. La grâce de Dieu nous est accordée dans sa toute puissance, afin que nous renversions le mal sous toutes ses formes. Nous sommes donc assurés du triomphe. Certains de nos péchés trouvent dans notre constitution, nos habitudes, nos occupations ou nos associations, comme des chariots de guerre pour nous écraser. Mais, quoi qu’il en soit, nous surmonterons ces obstacles.

Ils sont très forts et nous très faibles comparativement, mais au nom de Dieu nous les taillons en pièces. Si un seul péché a dominé sur nous, nous ne sommes pas les affranchis du Seigneur. Un homme lié par une chaîne unique est encore un captif. Impossible d’aller au ciel avec un seul péché régnant en nous ; mais il est dit en parlant des saints : « Le péché n’aura pas de domination sur vous. » Levez-vous, frappez ces ennemis et détruisez tous leurs chariots. L’Éternel des armées est avec nous, et qui résistera à sa puissance qui détruit le péché ?

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 350

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(4.14) Maintenant, fille de troupes, rassemble tes troupes ! On nous assiège ; Avec la verge on frappe sur la joue le juge d’Israël.
(5.1) Et toi, Bethléhem Éphrata, Petite entre les milliers de Juda, De toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël, Et dont l’origine remonte aux temps anciens, Aux jours de l’éternité.
(5.2) C’est pourquoi il les livrera Jusqu’au temps où enfantera celle qui doit enfanter, Et le reste de ses frères Reviendra auprès des enfants d’Israël.
(5.3) Il se présentera, et il gouvernera avec la force de l’Éternel, Avec la majesté du nom de l’Éternel, son Dieu : Et ils auront une demeure assurée, Car il sera glorifié jusqu’aux extrémités de la terre.
(5.4) C’est lui qui ramènera la paix. Lorsque l’Assyrien viendra dans notre pays, Et qu’il pénétrera dans nos palais, Nous ferons lever contre lui sept pasteurs Et huit princes du peuple.
(5.5) Ils feront avec l’épée leur pâture du pays d’Assyrie Et du pays de Nimrod au dedans de ses portes. Il nous délivrera ainsi de l’Assyrien, Lorsqu’il viendra dans notre pays, Et qu’il pénétrera sur notre territoire.
(5.6) Le reste de Jacob sera au milieu des peuples nombreux Comme une rosée qui vient de l’Éternel, Comme des gouttes d’eau sur l’herbe : Elles ne comptent pas sur l’homme, Elles ne dépendent pas des enfants des hommes.
(5.7) Le reste de Jacob sera parmi les nations, Au milieu des peuples nombreux, Comme un lion parmi les bêtes de la forêt, Comme un lionceau parmi les troupeaux de brebis : Lorsqu’il passe, il foule et déchire, Et personne ne délivre.
(5.8) Que ta main se lève sur tes adversaires, Et que tous tes ennemis soient exterminés !
(5.9) En ce jour-là, dit l’Éternel, J’exterminerai du milieu de toi tes chevaux, Et je détruirai tes chars ;
(5.10) J’exterminerai les villes de ton pays, Et je renverserai toutes tes forteresses ;
(5.11) J’exterminerai de ta main les enchantements, Et tu n’auras plus de magiciens ;
(5.12) J’exterminerai du milieu de toi tes idoles et tes statues, Et tu ne te prosterneras plus devant l’ouvrage de tes mains ;
(5.13) J’exterminerai du milieu de toi tes idoles d’Astarté, Et je détruirai tes villes.
(5.14) J’exercerai ma vengeance avec colère, avec fureur, sur les nations Qui n’ont pas écouté.

Écoutez donc ce que dit l’Éternel : Lève-toi, plaide devant les montagnes, Et que les collines entendent ta voix !…
Écoutez, montagnes, le procès de l’Éternel, Et vous, solides fondements de la terre ! Car l’Éternel a un procès avec son peuple, Il veut plaider avec Israël. —
Mon peuple, que t’ai-je fait ? En quoi t’ai-je fatigué ? Réponds-moi !
Car je t’ai fait monter du pays d’Égypte, Je t’ai délivré de la maison de servitude, Et j’ai envoyé devant toi Moïse, Aaron et Marie.
Mon peuple, rappelle-toi ce que projetait Balak, roi de Moab, Et ce que lui répondit Balaam, fils de Beor, De Sittim à Guilgal, Afin que tu reconnaisses les bienfaits de l’Éternel.
Avec quoi me présenterai-je devant l’Éternel, Pour m’humilier devant le Dieu Très Haut ? Me présenterai-je avec des holocaustes, Avec des veaux d’un an ?
L’Éternel agréera-t-il des milliers de béliers, Des myriades de torrents d’huile ? Donnerai-je pour mes transgressions mon premier-né, Pour le péché de mon âme le fruit de mes entrailles ? —
On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien ; Et ce que l’Éternel demande de toi, C’est que tu pratiques la justice, Que tu aimes la miséricorde, Et que tu marches humblement avec ton Dieu.
La voix de l’Éternel crie à la ville, Et celui qui est sage craindra ton nom. Entendez la verge et celui qui l’envoie !
Y a-t-il encore dans la maison du méchant Des trésors iniques, Et un épha trop petit, objet de malédiction ?
Est-on pur avec des balances fausses, Et avec de faux poids dans le sac ?
Ses riches sont pleins de violence, Ses habitants profèrent le mensonge, Et leur langue n’est que tromperie dans leur bouche.
C’est pourquoi je te frapperai par la souffrance, Je te ravagerai à cause de tes péchés.
Tu mangeras sans te rassasier, Et la faim sera au dedans de toi ; Tu mettras en réserve et tu ne sauveras pas, Et ce que tu sauveras, je le livrerai à l’épée.
Tu sèmeras, et tu ne moissonneras pas, Tu presseras l’olive, et tu ne feras pas d’onctions avec l’huile, Tu presseras le moût, et tu ne boiras pas le vin.
On observe les coutumes d’Omri Et toute la manière d’agir de la maison d’Achab, Et vous marchez d’après leurs conseils ; C’est pourquoi je te livrerai à la destruction, Je ferai de tes habitants un sujet de raillerie, Et vous porterez l’opprobre de mon peuple.

Il y a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine.
Plusieurs les suivront dans leurs dissolutions, et la voie de la vérité sera calomniée à cause d’eux.
Par cupidité, ils trafiqueront de vous au moyen de paroles trompeuses, eux que menace depuis longtemps la condamnation, et dont la ruine ne sommeille point.
Car, si Dieu n’a pas épargné les anges qui ont péché, mais s’il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement ;
s’il n’a pas épargné l’ancien monde, mais s’il a sauvé Noé, lui huitième, ce prédicateur de la justice, lorsqu’il fit venir le déluge sur un monde d’impies ;
s’il a condamné à la destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, les donnant comme exemple aux impies à venir,
et s’il a délivré le juste Lot, profondément attristé de la conduite de ces hommes sans frein dans leur dissolution
(car ce juste, qui habitait au milieu d’eux, tourmentait journellement son âme juste à cause de ce qu’il voyait et entendait de leurs œuvres criminelles);
le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux, et réserver les injustes pour êtres punis au jour du jugement,
ceux surtout qui vont après la chair dans un désir d’impureté et qui méprisent l’autorité. Audacieux et arrogants, ils ne craignent pas d’injurier les gloires,
tandis que les anges, supérieurs en force et en puissance, ne portent pas contre elles de jugement injurieux devant le Seigneur.
Mais eux, semblables à des brutes qui s’abandonnent à leurs penchants naturels et qui sont nées pour êtres prises et détruites, ils parlent d’une manière injurieuse de ce qu’ils ignorent, et ils périront par leur propre corruption,
recevant ainsi le salaire de leur iniquité. Ils trouvent leurs délices à se livrer au plaisir en plein jour ; hommes tarés et souillés, ils se délectent dans leurs tromperies, en faisant bonne chère avec vous.
Ils ont les yeux pleins d’adultère et insatiables de péché ; ils amorcent les âmes mal affermies ; ils ont le cœur exercé à la cupidité ; ce sont des enfants de malédiction.
Après avoir quitté le droit chemin, ils se sont égarés en suivant la voie de Balaam, fils de Bosor, qui aima le salaire de l’iniquité,
mais qui fut repris pour sa transgression : une ânesse muette, faisant entendre une voix d’homme, arrêta la démence du prophète.
Ces gens-là sont des fontaines sans eau, des nuées que chasse un tourbillon : l’obscurité des ténèbres leur est réservée.
Avec des discours enflés de vanité, ils amorcent par les convoitises de la chair, par les dissolutions, ceux qui viennent à peine d’échapper aux hommes qui vivent dans l’égarement ;
ils leur promettent la liberté, quand ils sont eux-mêmes esclaves de la corruption, car chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui.
En effet, si, après s’être retirés des souillures du monde, par la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, ils s’y engagent de nouveau et sont vaincus, leur dernière condition est pire que la première.
Car mieux valait pour eux n’avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l’avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné.
Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : Le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier.

Voici déjà, bien-aimés, la seconde lettre que je vous écris. Dans l’une et dans l’autre je cherche à éveiller par des avertissements votre saine intelligence,
afin que vous vous souveniez des choses annoncées d’avance par les saints prophètes, et du commandement du Seigneur et Sauveur,
enseigné par vos apôtres, sachant avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises,
et disant : Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création.
Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau,
et que par ces choses le monde d’alors périt, submergé par l’eau,
tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies.
Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour.
Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.
Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée.
Puisque donc toutes ces choses doivent se dissoudre, quelles ne doivent pas être la sainteté de votre conduite et votre piété,
tandis que vous attendez et hâtez l’avènement du jour de Dieu, à cause duquel les cieux enflammés se dissoudront et les éléments embrasés se fondront !
Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habitera.
C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, appliquez-vous à être trouvés par lui sans tache et irrépréhensibles dans la paix.
Croyez que la patience de notre Seigneur est votre salut, comme notre bien-aimé frère Paul vous l’a aussi écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée.
C’est ce qu’il fait dans toutes les lettres, où il parle de ces choses, dans lesquelles il y a des points difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme celui des autres écritures, pour leur propre ruine.
Vous donc, bien-aimés, qui êtes avertis, mettez-vous sur vos gardes, de peur qu’entraînés par l’égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté.
Mais croissez dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. À lui soit la gloire, maintenant et pour l’éternité ! Amen !

Verset du jour

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Psaumes 130.5

J’espère en l’Éternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse.

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