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Verset du jour - Les trésors de la foi

« Ce Jésus, qui a été enlevé d’avec vous dans le ciel, en reviendra de la même manière que nous l’y avez vu monter. » Actes 1.11

Plusieurs, en ce jour, célèbrent la naissance de notre Sauveur ; tournons aussi nos pensées vers la promesse de sa seconde venue, qui est aussi sûre que la première, et un gage pour nous de la certitude de son retour. Celui qui est venu prendre l’humble place de serviteur va bientôt venir réclamer le salaire de son service. Venu d’abord pour souffrir, il ne tardera pas à venir pour régner. Telle est notre glorieuse espérance, car nous partagerons sa joie. Aujourd’hui nous nous trouvons sous le même voile et dans la même humiliation qu’il a vécu autrefois ici-bas ; mais quand il viendra, ce sera le jour de notre manifestation, en même temps que ce sera celui de son avènement. Les saints revivront au jour où il apparaîtra. Ceux qui auront été calomniés et méprisés brilleront à cette heure comme le soleil dans le royaume de son Père. Les siens paraîtront alors comme rois et sacrificateurs ; les jours de leur deuil seront achevés. Le long repos et la splendeur incomparable du règne de mille ans répareront largement pour eux les dures années de leur témoignage et de leurs luttes.

Oh ! que le Seigneur vienne ! Voici, il vient bientôt. Il est en chemin et approche rapidement. Que le bruit de ses pas soit comme une musique à nos cœurs ! Cloches de l’espérance, ébranlez-vous et sonnez joyeusement, car voici notre Maître !

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 359

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Je levai de nouveau les yeux et je regardai, et voici, il y avait un rouleau qui volait.
Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je vois un rouleau qui vole ; il a vingt coudées de longueur, et dix coudées de largeur.
Et il me dit : C’est la malédiction qui se répand sur tout le pays ; car selon elle tout voleur sera chassé d’ici, et selon elle tout parjure sera chassé d’ici.
Je la répands, dit l’Éternel des armées, afin qu’elle entre dans la maison du voleur et de celui qui jure faussement en mon nom, afin qu’elle y établisse sa demeure, et qu’elle la consume avec le bois et les pierres.
L’ange qui parlait avec moi s’avança, et il me dit : Lève les yeux, et regarde ce qui sort là.
Je répondis : Qu’est-ce ? Et il dit : C’est l’épha qui sort. Il ajouta : C’est leur iniquité dans tout le pays.
Et voici, une masse de plomb s’éleva, et il y avait une femme assise au milieu de l’épha.
Il dit : C’est l’iniquité. Et il la repoussa dans l’épha, et il jeta sur l’ouverture la masse de plomb.
Je levai les yeux et je regardai, et voici, deux femmes parurent. Le vent soufflait dans leurs ailes ; elles avaient des ailes comme celles de la cigogne. Elles enlevèrent l’épha entre la terre et le ciel.
Je dis à l’ange qui parlait avec moi : Où emportent-elles l’épha ?
Il me répondit : Elles vont lui bâtir une maison dans le pays de Schinear ; et quand elle sera prête, il sera déposé là dans son lieu.

Je levai de nouveau les yeux et je regardai, et voici, quatre chars sortaient d’entre deux montagnes ; et les montagnes étaient des montagnes d’airain.
Au premier char il y avait des chevaux roux, au second char des chevaux noirs,
au troisième char des chevaux blancs, et au quatrième char des chevaux tachetés, rouges.
Je pris la parole et je dis à l’ange qui parlait avec moi : Qu’est-ce, mon seigneur ?
L’ange me répondit : Ce sont les quatre vents des cieux, qui sortent du lieu où ils se tenaient devant le Seigneur de toute la terre.
Les chevaux noirs attelés à l’un des chars se dirigent vers le pays du septentrion, et les blancs vont après eux ; les tachetés se dirigent vers le pays du midi.
Les rouges sortent et demandent à aller parcourir la terre. L’ange leur dit : Allez, parcourez la terre ! Et ils parcoururent la terre.
Il m’appela, et il me dit : Vois, ceux qui se dirigent vers le pays du septentrion font reposer ma colère sur le pays du septentrion.
La parole de l’Éternel me fut adressée, en ces mots :
Tu recevras les dons des captifs, Heldaï, Tobija et Jedaeja, et tu iras toi-même ce jour-là, tu iras dans la maison de Josias, fils de Sophonie, où ils se sont rendus en arrivant de Babylone.
Tu prendras de l’argent et de l’or, et tu en feras des couronnes, que tu mettras sur la tête de Josué, fils de Jotsadak, le souverain sacrificateur.
Tu lui diras : Ainsi parle l’Éternel des armées : Voici, un homme, dont le nom est germe, germera dans son lieu, et bâtira le temple de l’Éternel.
Il bâtira le temple de l’Éternel ; il portera les insignes de la majesté ; il s’assiéra et dominera sur son trône, il sera sacrificateur sur son trône, et une parfaite union régnera entre l’un et l’autre.
Les couronnes seront pour Hélem, Tobija et Jedaeja, et pour Hen, fils de Sophonie, un souvenir dans le temple de l’Éternel.
Ceux qui sont éloignés viendront et travailleront au temple de l’Éternel ; et vous saurez que l’Éternel des armées m’a envoyé vers vous. Cela arrivera, si vous écoutez la voix de l’Éternel, votre Dieu.

Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l’abîme lui fut donnée,
et elle ouvrit le puits de l’abîme. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d’une grande fournaise ; et le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée du puits.
De la fumée sortirent des sauterelles, qui se répandirent sur la terre ; et il leur fut donné un pouvoir comme le pouvoir qu’ont les scorpions de la terre.
Il leur fut dit de ne point faire de mal à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’avaient pas le sceau de Dieu sur le front.
Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu’elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme.
En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas ; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d’eux.
Ces sauterelles ressemblaient à des chevaux préparés pour le combat ; il y avait sur leurs têtes comme des couronnes semblables à de l’or, et leurs visages étaient comme des visages d’hommes.
Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions.
Elles avaient des cuirasses comme des cuirasses de fer, et le bruit de leurs ailes était comme un bruit de chars à plusieurs chevaux qui courent au combat.
Elles avaient des queues semblables à des scorpions et des aiguillons, et c’est dans leurs queues qu’était le pouvoir de faire du mal aux hommes pendant cinq mois.
Elles avaient sur elles comme roi l’ange de l’abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon.
Le premier malheur est passé. Voici il vient encore deux malheurs après cela.
Le sixième ange sonna de la trompette. Et j’entendis une voix venant des quatre cornes de l’autel d’or qui est devant Dieu,
et disant au sixième ange qui avait la trompette : DÉlie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d’Euphrate.
Et les quatre anges qui étaient prêts pour l’heure, le jour, le mois et l’année, furent déliés afin qu’ils tuassent le tiers des hommes.
Le nombre des cavaliers de l’armée était de deux myriades de myriades : j’en entendis le nombre.
Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d’hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions ; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre.
Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches.
Car le pouvoir des chevaux était dans leurs bouches et dans leurs queues ; leurs queues étaient semblables à des serpents ayant des têtes, et c’est avec elles qu’ils faisaient du mal.
Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d’or, d’argent, d’airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ;
et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols.

Je vis un autre ange puissant, qui descendait du ciel, enveloppé d’une nuée ; au-dessus de sa tête était l’arc-en-ciel, et son visage était comme le soleil, et ses pieds comme des colonnes de feu.
Il tenait dans sa main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, et son pied gauche sur la terre ;
et il cria d’une voix forte, comme rugit un lion. Quand il cria, les sept tonnerres firent entendre leurs voix.
Et quand les sept tonnerres eurent fait entendre leurs voix, j’allais écrire ; et j’entendis du ciel une voix qui disait : Scelle ce qu’ont dit les sept tonnerres, et ne l’écris pas.
Et l’ange, que je voyais debout sur la mer et sur la terre, leva sa main droite vers le ciel,
et jura par celui qui vit aux siècles des siècles, qui a créé le ciel et les choses qui y sont, la terre et les choses qui y sont, et la mer et les choses qui y sont, qu’il n’y aurait plus de temps,
mais qu’aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s’accomplirait, comme il l’a annoncé à ses serviteurs, les prophètes.
Et la voix, que j’avais entendue du ciel, me parla de nouveau, et dit : Va, prends le petit livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre.
Et j’allai vers l’ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit : Prends-le, et avale-le ; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel.
Je pris le petit livre de la main de l’ange, et je l’avalai ; il fut dans ma bouche doux comme du miel, mais quand je l’eus avalé, mes entrailles furent remplies d’amertume.
Puis on me dit : Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois.

Verset du jour

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Psaumes 130.5

J’espère en l’Éternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse.

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