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Verset du jour - Les trésors de la foi

« L’Éternel, ton Dieu, ramènera aussi les captifs et aura compassion de toi ; il te rassemblera de nouveau d’entre tous les peuples parmi lesquels l’Éternel, ton Dieu, t’avait dispersé. » Deutéronome 30.3

Le peuple de Dieu peut, hélas ! se vendre pour être captif du péché. C’est un fruit amer procédant d’une racine très amère. Quel esclavage, que celui d’un enfant de Dieu vendu au péché, dans les chaînes de Satan, et privé de sa liberté, de sa puissance dans la prière, de sa joie en son Dieu ! Prenons garde de ne pas tomber dans une semblable servitude ; mais, si peut-être nous y sommes engagés, ne désespérons pas. Nous ne pouvons pas rester captifs à toujours. Le prix payé par Jésus pour notre rachat est trop élevé pour qu’il nous laisse aux mains de l’ennemi.

Mais le chemin de la liberté est : « Retourne à l’Éternel ton Dieu. » Là, où nous avons trouvé une première fois le salut, nous le retrouverons une seconde : au pied de la croix, en confessant notre péché. Ensuite, « écoutons la voix de l’Éternel notre Dieu, de tout notre cœur et de toute notre âme, en tout ce qu’il commande, » et notre esclavage cessera. L’esprit abattu et la tristesse de l’âme s’évanouissent, on l’a vu souvent, aussitôt que nous quittons nos idoles et que nous nous inclinons avec soumission devant le Dieu vivant ; Pourquoi rester captifs ? Reprenons sans tarder notre droit de cité en Sion, et que le Seigneur nous ramène de l’exil.

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 126

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La reine de Séba apprit la renommée de Salomon, et elle vint à Jérusalem pour l’éprouver par des énigmes. Elle avait une suite fort nombreuse, et des chameaux portant des aromates, de l’or en grande quantité et des pierres précieuses. Elle se rendit auprès de Salomon, et elle lui dit tout ce qu’elle avait dans le cœur.
Salomon répondit à toutes ses questions, et il n’y eut rien que Salomon ne sût lui expliquer.
La reine de Séba vit la sagesse de Salomon, et la maison qu’il avait bâtie,
et les mets de sa table, et la demeure de ses serviteurs, et les fonctions et les vêtements de ceux qui le servaient, et ses échansons et leurs vêtements, et les degrés par lesquelles on montait à la maison de l’Éternel.
Hors d’elle-même, elle dit au roi : C’était donc vrai ce que j’ai appris dans mon pays au sujet de ta position et de ta sagesse !
Je ne croyais pas ce qu’on en disait, avant d’être venue et d’avoir vu de mes yeux. Et voici, on ne m’a pas raconté la moitié de la grandeur de ta sagesse. Tu surpasses ce que la renommée m’a fait connaître.
Heureux tes gens, heureux tes serviteurs, qui sont continuellement devant toi et qui entendent ta sagesse !
Béni soit l’Éternel, ton Dieu, qui t’a accordé la faveur de te placer sur son trône comme roi pour l’Éternel, ton Dieu ! C’est parce que ton Dieu aime Israël et veut le faire subsister à toujours, qu’il t’a établi roi sur lui pour que tu fasses droit et justice.
Elle donna au roi cent vingt talents d’or, une très grande quantité d’aromates et des pierres précieuses. Il n’y eut plus d’aromates tels que ceux donnés au roi Salomon par la reine de Séba.
Les serviteurs de Huram et les serviteurs de Salomon, qui apportèrent de l’or d’Ophir, amenèrent aussi du bois de santal et des pierres précieuses.
Le roi fit avec le bois de santal des escaliers pour la maison de l’Éternel et pour la maison du roi, et des harpes et des luths pour les chantres. On n’en avait pas vu de semblable auparavant dans le pays de Juda.
Le roi Salomon donna à la reine de Séba tout ce qu’elle désira, ce qu’elle demanda, plus qu’elle n’avait apporté au roi. Puis elle s’en retourna et alla dans son pays, elle et ses serviteurs.
Le poids de l’or qui arrivait chaque année à Salomon était de six cent soixante-six talents d’or,
outre ce qu’il retirait des négociants et des marchands qui en apportaient, de tous les rois d’Arabie et des gouverneurs du pays, qui apportaient de l’or et de l’argent à Salomon.
Le roi Salomon fit deux cents grands boucliers d’or battu, pour chacun desquels il employa six cents sicles d’or battu,
et trois cents autres boucliers d’or battu, pour chacun desquels il employa trois cents sicles d’or ; et le roi les mit dans la maison de la forêt du Liban.
Le roi fit un grand trône d’ivoire, et le couvrit d’or pur.
Ce trône avait six degrés, et un marchepied d’or attenant au trône ; il y avait des bras de chaque côté du siège ; deux lions étaient près des bras,
et douze lions sur les six degrés de part et d’autre. Il ne s’est rien fait de pareil pour aucun royaume.
Toutes les coupes du roi Salomon étaient d’or, et toute la vaisselle de la maison de la forêt du Liban était d’or pur. Rien n’était d’argent : on n’en faisait aucun cas du temps de Salomon.
Car le roi avait des navires de Tarsis naviguant avec les serviteurs de Huram ; et tous les trois ans arrivaient les navires de Tarsis, apportant de l’or et de l’argent, de l’ivoire, des singes et des paons.
Le roi Salomon fut plus grand que tous les rois de la terre par les richesses et par la sagesse.
Tous les rois de la terre cherchaient à voir Salomon, pour entendre la sagesse que Dieu avait mise dans son cœur.
Et chacun d’eux apportait son présent, des objets d’argent et des objets d’or, des vêtements, des armes, des aromates, des chevaux et des mulets ; et il en était ainsi chaque année.
Salomon avait quatre mille crèches pour les chevaux destinés à ses chars, et douze mille cavaliers qu’il plaça dans les villes où il tenait ses chars et à Jérusalem près du roi.
Il dominait sur tous les rois, depuis le fleuve jusqu’au pays des Philistins et jusqu’à la frontière d’Égypte.
Le roi rendit l’argent aussi commun à Jérusalem que les pierres, et les cèdres aussi nombreux que les sycomores qui croissent dans la plaine.
C’était de l’Égypte et de tous les pays que l’on tirait des chevaux pour Salomon.
Le reste des actions de Salomon, les premières et les dernières, cela n’est-il pas écrit dans le livre de Nathan, le prophète, dans la prophétie d’Achija de Silo, et dans les révélations de Jéedo, le prophète sur Jéroboam, fils de Nebath ?
Salomon régna quarante ans à Jérusalem sur tout Israël.
Puis Salomon se coucha avec ses pères, et on l’enterra dans la ville de David, son père. Et Roboam, son fils, régna à sa place.

Roboam se rendit à Sichem, car tout Israël était venu à Sichem pour le faire roi.
Lorsque Jéroboam, fils de Nebath, eut des nouvelles, il était en Égypte, où il s’était enfui loin du roi Salomon, et il revint d’Égypte.
On l’envoya appeler. Alors Jéroboam et tout Israël vinrent vers Roboam et lui parlèrent ainsi :
Ton père a rendu notre joug dur ; maintenant allège cette rude servitude et le joug pesant que nous a imposé ton père. Et nous te servirons.
Il leur dit : Revenez vers moi dans trois jours. Et le peuple s’en alla.
Le roi Roboam consulta les vieillards qui avaient été auprès de Salomon, son père, pendant sa vie, et il dit : Que conseillez-vous de répondre à ce peuple ?
Et voici ce qu’ils lui dirent : Si tu es bon envers ce peuple, si tu les reçois favorablement, et si tu leur parles avec bienveillance, ils seront pour toujours tes serviteurs.
Mais Roboam laissa le conseil que lui donnaient les vieillards, et il consulta les jeunes gens qui avaient grandi avec lui et qui l’entouraient.
Il leur dit : Que conseillez-vous de répondre à ce peuple qui me tient ce langage : Allège le joug que nous a imposé ton père ?
Et voici ce que lui dirent les jeunes gens qui avaient grandi avec lui : Tu parleras ainsi à ce peuple qui t’a tenu ce langage : Ton père a rendu notre joug pesant, et toi, allège-le-nous ! Tu leur parleras ainsi : Mon petit doigt est plus gros que les reins de mon père.
Maintenant, mon père vous a chargés d’un joug pesant, et moi je vous le rendrai plus pesant ; mon père vous a châtiés avec des fouets, et moi je vous châtierai avec des scorpions.
Jéroboam et tout le peuple vinrent à Roboam le troisième jour, suivant ce qu’avait dit le roi : Revenez vers moi dans trois jours.
Le roi leur répondit durement. Le roi Roboam laissa le conseil des vieillards,
et leur parla ainsi d’après le conseil des jeunes gens : Mon père a rendu votre joug pesant, et moi je le rendrai plus pesant ; mon père vous a châtiés avec des fouets, et moi je vous châtierai avec des scorpions.
Ainsi le roi n’écouta point le peuple ; car cela fut dirigé par Dieu, en vue de l’accomplissement de la parole que l’Éternel avait dite par Achija de Silo à Jéroboam, fils de Nebath.
Lorsque tout Israël vit que le roi ne l’écoutait pas, le peuple répondit au roi : Quelle part avons-nous avec David ? Nous n’avons point d’héritage avec le fils d’Isaï ! À tes tentes, Israël ! Maintenant, pourvois à ta maison, David ! Et tout Israël s’en alla dans ses tentes.
Les enfants d’Israël qui habitaient les villes de Juda furent les seuls sur qui régna Roboam.
Alors le roi Roboam envoya Hadoram, qui était préposé aux impôts. Mais Hadoram fut lapidé par les enfants d’Israël, et il mourut. Et le roi Roboam se hâta de monter sur un char, pour s’enfuir à Jérusalem.
C’est ainsi qu’Israël s’est détaché de la maison de David jusqu’à ce jour.

Roboam, arrivé à Jérusalem, rassembla la maison de Juda et de Benjamin, cent quatre-vingt mille hommes d’élite propres à la guerre, pour qu’ils combattissent contre Israël afin de le ramener sous la domination de Roboam.
Mais la parole de l’Éternel fut ainsi adressée à Schemaeja, homme de Dieu :
Parle à Roboam, fils de Salomon, roi de Juda, et à tout Israël en Juda et en Benjamin. Et dis-leur :
Ainsi parle l’Éternel : Ne montez point, et ne faites pas la guerre à vos frères ! Que chacun de vous retourne dans sa maison, car c’est de par moi que cette chose est arrivée. Ils obéirent aux paroles de l’Éternel, et ils s’en retournèrent, renonçant à marcher contre Jéroboam.
Roboam demeura à Jérusalem, et il bâtit des villes fortes en Juda.
Il bâtit Bethléhem, Étham, Tekoa,
Beth Tsur, Soco, Adullam,
Gath, Maréscha, Ziph,
Adoraïm, Lakis, Azéka,
Tsorea, Ajalon et Hébron, qui étaient en Juda et en Benjamin, et il en fit des villes fortes.
Il les fortifia, et y établit des commandants, et des magasins de vivres, d’huile et de vin.
Il mit dans chacune de ces villes des boucliers et des lances, et il les rendit très fortes. Juda et Benjamin étaient à lui.
Les sacrificateurs et les Lévites qui se trouvaient dans tout Israël quittèrent leurs demeures pour se rendre auprès de lui ;
car les Lévites abandonnèrent leurs banlieues et leurs propriétés et vinrent en Juda et à Jérusalem, parce que Jéroboam et ses fils les empêchèrent de remplir leurs fonctions comme sacrificateurs de l’Éternel.
Jéroboam établit des sacrificateurs pour les hauts lieux, pour les boucs, et pour les veaux qu’il avait faits.
Ceux de toutes les tribus d’Israël qui avaient à cœur de chercher l’Éternel, le Dieu d’Israël, suivirent les Lévites à Jérusalem pour sacrifier à l’Éternel, le Dieu de leurs pères.
Ils donnèrent ainsi de la force au royaume de Juda, et affermirent Roboam, fils de Salomon, pendant trois ans ; car ils marchèrent pendant trois ans dans la voie de David et de Salomon.
Roboam prit pour femme Mahalath, fille de Jerimoth, fils de David et d’Abichaïl, fille d’Éliab, fils d’Isaï.
Elle lui enfanta des fils : Jeusch, Schemaria et Zaham.
Après elle, il prit Maaca, fille d’Absalom. Elle lui enfanta Abija, Attaï, Ziza et Schelomith.
Roboam aimait Maaca, fille d’Absalom, plus que toutes ses femmes et ses concubines ; car il eut dix-huit femmes et soixante concubines, et il engendra vingt-huit fils et soixante filles.
Roboam donna le premier rang à Abija, fils de Maaca, et l’établit chef parmi ses frères, car il voulait le faire roi.
Il agit avec habileté en dispersant tous ses fils dans toutes les contrées de Juda et de Benjamin, dans toutes les villes fortes ; il leur fournit des vivres en abondance, et demanda pour eux une multitude de femmes.

Lorsque Jésus sortit du temple, un de ses disciples lui dit : Maître, regarde quelles pierres, et quelles constructions !
Jésus lui répondit : Vois-tu ces grandes constructions ? Il ne restera pas pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Il s’assit sur la montagne des oliviers, en face du temple. Et Pierre, Jacques, Jean et André lui firent en particulier cette question :
Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et à quel signe connaîtra-t-on que toutes ces choses vont s’accomplir ?
Jésus se mit alors à leur dire : Prenez garde que personne ne vous séduise.
Car plusieurs viendront sous mon nom, disant ; C’est moi. Et ils séduiront beaucoup de gens.
Quand vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres, ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin.
Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura des tremblements de terre en divers lieux, il y aura des famines. Ce ne sera que le commencement des douleurs.
Prenez garde à vous-mêmes. On vous livrera aux tribunaux, et vous serez battus de verges dans les synagogues ; vous comparaîtrez devant des gouverneurs et devant des rois, à cause de moi, pour leur servir de témoignage.
Il faut premièrement que la bonne nouvelle soit prêchée à toutes les nations.
Quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous inquiétez pas d’avance de ce que vous aurez à dire, mais dites ce qui vous sera donné à l’heure même ; car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit Saint.
Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant ; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir.
Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom, mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé.
Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation établie là où elle ne doit pas être, — que celui qui lit fasse attention, — alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes ;
que celui qui sera sur le toit ne descende pas et n’entre pas pour prendre quelque chose dans sa maison ;
et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau.
Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là !
Priez pour que ces choses n’arrivent pas en hiver.
Car la détresse, en ces jours, sera telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis le commencement du monde que Dieu a créé jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais.
Et, si le Seigneur n’avait abrégé ces jours, personne ne serait sauvé ; mais il les a abrégés, à cause des élus qu’il a choisis.
Si quelqu’un vous dit alors : "Le Christ est ici", ou : "Il est là", ne le croyez pas.
Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront des prodiges et des miracles pour séduire les élus, s’il était possible.
Soyez sur vos gardes : je vous ai tout annoncé d’avance.
Mais dans ces jours, après cette détresse, le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière,
les étoiles tomberont du ciel, et les puissances qui sont dans les cieux seront ébranlées.
Alors on verra le Fils de l’homme venant sur les nuées avec une grande puissance et avec gloire.
Alors il enverra les anges, et il rassemblera les élus des quatre vents, de l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel.
Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l’été est proche.
De même, quand vous verrez ces choses arriver, sachez que le Fils de l’homme est proche, à la porte.
Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive.
Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.
Pour ce qui est du jour ou de l’heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul.
Prenez garde, veillez et priez ; car vous ne savez quand ce temps viendra.
Il en sera comme d’un homme qui, partant pour un voyage, laisse sa maison, remet l’autorité à ses serviteurs, indique à chacun sa tâche, et ordonne au portier de veiller.
Veillez donc, car vous ne savez quand viendra le maître de la maison, ou le soir, ou au milieu de la nuit, ou au chant du coq, ou le matin ;
craignez qu’il ne vous trouve endormis, à son arrivée soudaine.
Ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez.

La fête de Pâque et des pains sans levain devait avoir lieu deux jours après. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchaient les moyens d’arrêter Jésus par ruse, et de le faire mourir.
Car ils disaient : Que ce ne soit pas pendant la fête, afin qu’il n’y ait pas de tumulte parmi le peuple.
Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme entra, pendant qu’il se trouvait à table. Elle tenait un vase d’albâtre, qui renfermait un parfum de nard pur de grand prix ; et, ayant rompu le vase, elle répandit le parfum sur la tête de Jésus.
Quelques-uns exprimèrent entre eux leur indignation : À quoi bon perdre ce parfum ?
On aurait pu le vendre plus de trois cents deniers, et les donner aux pauvres. Et ils s’irritaient contre cette femme.
Mais Jésus dit : Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action à mon égard ;
car vous avez toujours les pauvres avec vous, et vous pouvez leur faire du bien quand vous voulez, mais vous ne m’avez pas toujours.
Elle a fait ce qu’elle a pu ; elle a d’avance embaumé mon corps pour la sépulture.
Je vous le dis en vérité, partout où la bonne nouvelle sera prêchée, dans le monde entier, on racontera aussi en mémoire de cette femme ce qu’elle a fait.
Judas Iscariot, l’un des douze, alla vers les principaux sacrificateurs, afin de leur livrer Jésus.
Après l’avoir entendu, ils furent dans la joie, et promirent de lui donner de l’argent. Et Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer.
Le premier jour des pains sans levain, où l’on immolait la Pâque, les disciples de Jésus lui dirent : Où veux-tu que nous allions te préparer la Pâque ?
Et il envoya deux de ses disciples, et leur dit : Allez à la ville ; vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau, suivez-le.
Quelque part qu’il entre, dites au maître de la maison : Le maître dit : Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?
Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée et toute prête : c’est là que vous nous préparerez la Pâque.
Les disciples partirent, arrivèrent à la ville, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque.
Le soir étant venu, il arriva avec les douze.
Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, Jésus dit : Je vous le dis en vérité, l’un de vous, qui mange avec moi, me livrera.
Ils commencèrent à s’attrister, et à lui dire, l’un après l’autre : Est-ce moi ?
Il leur répondit : C’est l’un des douze, qui met avec moi la main dans le plat.
Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré ! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né.
Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Prenez, ceci est mon corps.
Il prit ensuite une coupe ; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous.
Et il leur dit : Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs.
Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu.
Après avoir chanté les cantiques, ils se rendirent à la montagne des oliviers.
Jésus leur dit : Vous serez tous scandalisés ; car il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées.
Mais, après que je serai ressuscité, je vous précéderai en Galilée.
Pierre lui dit : Quand tous seraient scandalisés, je ne serai pas scandalisé.
Et Jésus lui dit : Je te le dis en vérité, toi, aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois.
Mais Pierre reprit plus fortement : Quand il me faudrait mourir avec toi, je ne te renierai pas. Et tous dirent la même chose.
Ils allèrent ensuite dans un lieu appelé Gethsémané, et Jésus dit à ses disciples : Asseyez-vous ici, pendant que je prierai.
Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, et il commença à éprouver de la frayeur et des angoisses.
Il leur dit : Mon âme est triste jusqu’à la mort ; restez ici, et veillez.
Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta contre terre, et pria que, s’il était possible, cette heure s’éloignât de lui.
Il disait : Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
Et il vint vers les disciples, qu’il trouva endormis, et il dit à Pierre : Simon, tu dors ! Tu n’as pu veiller une heure !
Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation ; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.
Il s’éloigna de nouveau, et fit la même prière.
Il revint, et les trouva encore endormis ; car leurs yeux étaient appesantis. Ils ne surent que lui répondre.
Il revint pour la troisième fois, et leur dit : Dormez maintenant, et reposez-vous ! C’est assez ! L’heure est venue ; voici, le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs.
Levez-vous, allons ; voici, celui qui me livre s’approche.
Et aussitôt, comme il parlait encore, arriva Judas l’un des douze, et avec lui une foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les principaux sacrificateurs, par les scribes et par les anciens.
Celui qui le livrait leur avait donné ce signe : Celui que je baiserai, c’est lui ; saisissez-le, et emmenez-le sûrement.
Dès qu’il fut arrivé, il s’approcha de Jésus, disant : Rabbi ! Et il le baisa.
Alors ces gens mirent la main sur Jésus, et le saisirent.
Un de ceux qui étaient là, tirant l’épée, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille.
Jésus, prenant la parole, leur dit : Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour vous emparer de moi.
J’étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m’avez pas saisi. Mais c’est afin que les écritures soient accomplies.
Alors tous l’abandonnèrent, et prirent la fuite.
Un jeune homme le suivait, n’ayant sur le corps qu’un drap. On se saisit de lui ;
mais il lâcha son vêtement, et se sauva tout nu.
Ils emmenèrent Jésus chez le souverain sacrificateur, où s’assemblèrent tous les principaux sacrificateurs, les anciens et les scribes.
Pierre le suivit de loin jusque dans l’intérieur de la cour du souverain sacrificateur ; il s’assit avec les serviteurs, et il se chauffait près du feu.
Les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus, pour le faire mourir, et ils n’en trouvaient point ;
car plusieurs rendaient de faux témoignages contre lui, mais les témoignages ne s’accordaient pas.
Quelques-uns se levèrent, et portèrent un faux témoignage contre lui, disant :
Nous l’avons entendu dire : Je détruirai ce temple fait de main d’homme, et en trois jours j’en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.
Même sur ce point-là leur témoignage ne s’accordait pas.
Alors le souverain sacrificateur, se levant au milieu de l’assemblée, interrogea Jésus, et dit : Ne réponds-tu rien ? Qu’est-ce que ces gens déposent contre toi ?
Jésus garda le silence, et ne répondit rien. Le souverain sacrificateur l’interrogea de nouveau, et lui dit : Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ?
Jésus répondit : Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel.
Alors le souverain sacrificateur déchira ses vêtements, et dit : Qu’avons-nous encore besoin de témoins ?
Vous avez entendu le blasphème. Que vous en semble ? Tous le condamnèrent comme méritant la mort.
Et quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper à coups de poing, en lui disant : Devine ! Et les serviteurs le reçurent en lui donnant des soufflets.
Pendant que Pierre était en bas dans la cour, il vint une des servantes du souverain sacrificateur.
Voyant Pierre qui se chauffait, elle le regarda, et lui dit : Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth.
Il le nia, disant : Je ne sais pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit pour aller dans le vestibule. Et le coq chanta.
La servante, l’ayant vu, se mit de nouveau à dire à ceux qui étaient présents : Celui-ci est de ces gens-là. Et il le nia de nouveau.
Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre : Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen.
Alors il commença à faire des imprécations et à jurer : Je ne connais pas cet homme dont vous parlez.
Aussitôt, pour la seconde fois, le coq chanta. Et Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite : Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Et en y réfléchissant, il pleurait.

Verset du jour

SELECT v.livre, v.chapitre, v.verset, L.Texte, C.NomCourt FROM vod AS v INNER JOIN Correspondance AS C ON C.Livre = v.livre INNER JOIN LSG AS L ON v.livre = L.Livre AND v.chapitre = L.chapitre AND v.verset = L.verset WHERE v.id = 5

Jacques 4.8

Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs ; purifiez vos cœurs, hommes irrésolus.

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